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Le trajet au travail à vélo rend plus heureux, le « vélotaf »

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Trajet domicile-travail à vélo électrique

En raison des mesures restrictives actuelles, le « vélotaf » (le fait de se rendre au travail à vélo) est presque la seule activité à l’extérieur de beaucoup de personne. Au soleil, ils prolongent même le plaisir en prolongeant soigneusement leur itinéraire.

Cette bouffée d’air frais, les changements d’environnement, l’exercice physique ou ces visages croisés (bien sûr, au loin) sont plus que jamais les nombreux bénéfices dont jouissent les cyclistes de tous les jours dans leurs déplacements autorisés. « Faire du vélo électrique, c’est un réveil au plein air qui nous manque aujourd’hui », a déclaré Pierre, qui étudie la biologie aquatique sur la côte bretonne.

Le premier confinement a doublé le nombre de cyclistes en France.
Coronapistes, plans vélos, chèque 50 euros pour les réparations … Avec de nombreuses annonces, les vélos électriques ont fait de la place dans les routes et les têtes depuis le début de l’épidémie de Covid-19. Son développement et ses avantages pour notre immunité ont été médiatisés à plusieurs reprises.

Cependant, aux yeux des adeptes, le vélotaf est bon pendant ces périodes enfermées et parfois stressantes. Olivier Schneider, président de la Fédération des utilisateurs de vélos, se réjouit que sa pratique soit toujours conforme à la réglementation sanitaire en vigueur.
À l’ère du télétravail et de la visioconférence d’aujourd’hui, les vélos électriques vous permettent de renouer avec la réalité.  » Olivier Schneider

Le Brestois n’a jamais poussé un soupir de soulagement comme maintenant, jusqu’à ce qu’après deux mois d’enfermement le 11 mai 2020, il puisse à nouveau pédaler tous les jours. L’hédonisme n’est pas seulement parce qu’il aide à oublier les ennuis de la vie quotidienne. Faire du vélo électrique peut vous mettre dans une bulle, ce qui est un moment privilégié pour vous-même. Ensuite, à l’ère du télétravail et de la communication par vidéoconférence, cela nous permet de renouer avec la réalité de façon saisonnière, et nous en avons absolument besoin dans une société stérilisée. Évitez toujours les embouteillages et profitez de l’empreinte carbone sans rester coincé à l’intérieur.

Le « vélotaf », le meilleur allié pour le confinement​

Avec le retour des permis de voyage et de sortie limités, le vélo électrique pour se rendre au travail ou faire du shopping semble un luxe. Les vélos électriques  sont le meilleur allié pour aller travailler pendant le confinement.
L’aube est juste derrière la montagne. Les lampadaires sont toujours allumés. Les oiseaux ont commencé à chanter. Les feuilles des arbres récemment tombés ornent la route. Chaque matin, deux cyclistes se retrouvent à Grenoble, non loin l’un de l’autre sur le premier contrefort du Massif de Belledona. L’un monte, l’autre descend. Allons au travail, ils portent des casques sur la tête, des lumières dans le dos, et parfois des lampes fluorescentes, hochant la tête l’un vers l’autre. Depuis le lancement de confinement Version 2, ils ont également affiché un sourire éclatant.
Lorsque vous devez revenir d’un itinéraire limité, vous devez présenter un certificat et une limite d’un kilomètre autour de la maison. Le vélo électrique pour aller au travail ou faire du shopping est un luxe.

« En ce moment, prendre le vélo est un éveil à l’extérieur dont on manque dans nos journées. » Pierre, cycliste

Il se rend chez ses patients à domicile : « Déjà en temps normal, ça vide énormément la tête avant de rentrer à la maison et ça rend la soirée bien plus cool. Depuis le confinement, c’est vraiment la bouffée d’air de la journée et j’apprécie d’autant plus. »

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Avantages pour le moral et l’humeur

Outre ses effets « apaisants » et « calme » sur le névrosisme, certains adeptes ont également cité ses effets psychologiques sur « l’émotion » ou le « moral ». Que disent les scientifiques ?
Francis Papon, directeur de la dynamique socio-économique du laboratoire des transports de l’université Gustave Eiffel, s’intéresse particulièrement aux modes actifs et à leur perception. Dans le cadre de l’Enquête nationale sur les voyages et les transports 2008, l’ingénieur devenu chercheur s’est souvenu qu’il avait posé une fois une question pour savoir si la personne interrogée trouvait son mode de transport agréable : le nombre de personnes ayant répondu « oui » était Les cyclistes.  »

« Lorsque nous voyageons à vélo électrique, nous sommes à l’extérieur et nous ne sommes pas limités à l’intérieur. » Francis Papon, chercheur

Pour lui, l’explication réside dans le sentiment de liberté. Les mesures de confinement se sont intensifiées : « Lorsque nous voyageons à vélo, nous sommes à l’extérieur et nous ne sommes pas limités à l’intérieur. »
Si à l’automne, riez parfois du coupe-vent des « vélotafeurs » ou de l’entêtement sous la pluie, alors la tendance de cette année va tourner. Matthieu, illustrateur à Strasbourg, se promène le long d’une piste cyclable bordée d’arbres sur l’eau pour rejoindre son atelier. Il a soufflé : « Il y a très peu de trajets quotidiens. Cela va respirer de l’air frais. Cela m’aidera à m’en tenir aux prochaines semaines. C’est très bon pour le moral et le physique. »

Selon l’analyse de Francis Papon, toutes les recherches menées dans des contextes différents vont dans le même sens : la joie de l’installation des pédales. À Montréal, au Canada, des scientifiques de l’Université Concordia, dans une étude publiée dans l’International Journal of Workplace Health Management, ont montré que les cyclistes pensent que leur trajet est moins stressant que ceux qui conduisent une voiture. Pour le reste de la journée, ce qu’ils ressentaient le matin avait un impact sur leur humeur. Mais ce n’est pas seulement le stress, mais aussi le plaisir de conduire une voiture ou de courir sous la pluie, et parfois naïf.

Faire du vélo électrique avant de monter dans la voiture

Un certain nombre d’enquêtes américaines ont montré qu’il existe un lien entre le comportement lié à la circulation et le « bien-être subjectif » – un sentiment de bonheur. En Oregon, le transport actif rend les habitants de Portland plus heureux. Le mieux classé est … les vélos !

Dans une étude menée au Minnesota, la même conclusion a été tirée autour des émotions (joie, sentiment, fatigue, stress, tristesse et douleur) causées par les voyages quotidiens. En revanche, les enquêtes montrent que les transports publics sont considérés comme « les moins sages » et « les malheureux », tandis que la voiture est «la plus douloureuse ».

Dans la situation actuelle, il est plus logique d’appuyer sur la pédale. Au printemps, Florian travaille dans une épicerie en Alsace. Il garde en tête « un sentiment de liberté, de privilège et de capacité à aller plus loin », grâce au « vélotaf ».

« Lorsque nous parlons habituellement de vélo, lorsque les avantages l’emportent sur les risques, nous ne parlons pas beaucoup. » Francis Papon, chercheur

Les chercheurs ont expliqué dans leurs travaux à travers l’Afrique, l’Amérique du Nord et l’Europe : « Lorsque nous commençons à faire de l’exercice, les muscles sont activés et le corps sécrète des hormones, des molécules et des protéines. Nous parlons de milliers de protéines de l’exercice, la portée n’est pas encore connue. Ces messagers permettent la communication entre les tissus. Les muscles ont aussi du foie, des tissus adipeux (stockage des graisses, ndlr). Ils travaillent tous ensemble dans notre corps.

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Bénéfice à long terme

Dans l’hippocampe et le cortex cérébral, l’activité musculaire déclenche l’action efficace des neurotransmetteurs, affectant ainsi la régulation du comportement et donc la régulation des émotions. Parmi eux, la dopamine, la norépinéphrine, la sérotonine ou les endorphines sont parfois appelées hormones du bonheur, du plaisir ou du sens de l’humour. Par conséquent, les effets bénéfiques des activités régulières, telles que le vélo électrique pour lutter contre l’anxiété et la dépression, ou améliorer l’activité cognitive.

Par conséquent, quels que soient ses effets physiologiques, le « vélotaf » n’est pas surprenant comme moyen de lutter contre les modes de vie sédentaires. Audrey Bergouignan a ajouté : « L’avantage du vélo est qu’il nous permet de s’intégrer dans notre vie quotidienne, satisfaisant ainsi les recommandations actuelles en matière d’exercice physique, ce qui libère du temps. »
Même avec une assistance électrique, le cyclisme régulier peut affecter la mortalité, aider à combattre l’inflammation et réduire le risque de certaines maladies.

« Nous préférons laisser les gens prendre des médicaments anti-anxiété au lieu de leur dire de faire du vélo. » Olivier Schneider

Olivier Schneider a déclaré à regret : « Les gens n’en savent pas assez sur la prévention primaire du vélo, et cela n’aide même pas la santé mentale des aveugles. Nous préférons laisser les gens prendre des médicaments anti-anxiété au lieu de leur dire de rouler en vélo. »

L’expert Francis Papon a poursuivi : « De manière générale, lorsque nous parlons de vélo, nous mentionnons d’abord la sécurité et les risques d’accident. Nous ne parlons pas beaucoup de santé, même si les avantages l’emportent sur Risque. »

La chercheuse Audrey Bergouignan a confirmé : « Aujourd’hui, aucun médicament n’est aussi bon que l’exercice physique. »
Ceux qui ont continué à faire du vélo depuis le 30 octobre ont beaucoup de chance : ils possèdent un vélo et savent comment l’utiliser. La responsabilité de saisir les autres dépend des autres.

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