Le rapport impressionnant des déplacements-transports de Strava

Strava

L’évolution des déplacements dans le monde est impressionnante. Strava est un réseau social et site internet qui a pour objectif d’enregistrer nos données sportives GPS pour constater l’évolution. Avec le temps, Strava s’est démocratisé et aujourd’hui, ce n’est plus qu’un simple réseau social de sportif, l’entreprise représente 22 millions d’utilisateurs mensuels qui partagent leurs déplacements sportifs, mais également professionnels. En effet, les trajets domicile-travail se comptent de plus en plus nombreux, et le réseau social des sportifs en a réalisé une étude explicite.

Les éléments forts de 2022

Globalement, on note une évolution des déplacements-transports énorme depuis 2019. En effet, la pandémie avait stoppé et fait chuter tous les déplacements-transports suite à la fermeture des bureaux.

Le premier point abordé par cette partie de l’étude, concerne le niveau des déplacements-transports qui a augmenté grâce aux femmes. En effet, les femmes ont mis moins de temps à rattraper le niveau des déplacements-transports avant la pandémie que les hommes. Par rapport à 2020 où les femmes faisaient moins de vélo que les hommes pour aller au travail, on observe une évolution fulgurante en 2022 où elles font actuellement plus de vélo que les hommes.

Nous constatons des changements d’habitude dans le quotidien de beaucoup de grandes agglomérations. Dans certaines villes, dont Paris, les déplacements-transports se sont largement multipliés par rapport à 2019. De plus, dans de nombreuses zones urbaines du monde entier, le vélo est plus utilisé pour des déplacements velotaf que pour une activité de loisir. On compte parmi ces zones Paris en première place avec une évolution de 97% par rapport à 2019, Rio de Janeiro (62%), Berlin (57%), Tokyo (46%) et Munich (41%).

déplacements-transport

L'évolution des déplacements-transports

Prenons l’exemple de la ville de Paris, 68% des sorties à vélo constituent des déplacements-transports. Ce qui est une évolution inouïe pour Paris et les déplacements à vélos de la ville.

Alors, nous nous posons la question : Pourquoi les déplacements à vélo en direction du lieu de travail représentent un aussi grand pourcentage ?

Aujourd’hui, la ville de Paris, est envahi de voitures et d’embouteillages… Pour réaliser quelques kilomètres en voiture, on peut attendre 2 heures. L’avantage à vélo est de pouvoir éviter les embouteillages en toute prudence. Partir seulement 10/20 minute avant l’heure d’embauche, arriver au travail avec l’esprit et la tête libre tout en admirant le paysage urbain de Paris.

Concernant les autres villes européennes, elles monopolisent le classement. On retrouve parmi elles, Londres, Glasgow et Berlin qui suivent Paris avec une moyenne proche de 63% des sorties à vélo qui constituent les déplacements-transports. En revanche, certaines pépites non-européennes sortent du lot, comme Boston et Tokyo qui occupent le bas du classement.

Dans certaines villes, les déplacements-transports n'ont pas repris...

En effet, dans plusieurs villes, notamment des villes américaines, les déplacements-transports n’ont pas vraiment repris, car le télétravail est encore bien présent. On retrouve Portland, San Francisco et Washington avec le plus gros pourcentage de déplacement à vélo qui n’a pas repris.

Les villes de Bristol et Manchester font également partie des zones qui n’ont pas repris les transports à vélo. Pour conclure ce classement des zones en retard sur les déplacements vélotaf, on note que les USA et l’Angleterre ont un peu de retard sur les autres pays. Même si Londres fait partie du classement des meilleures évolutions des déplacements-transports à vélo.

L’étude de Strava sur les déplacements-transports est très complète et reflète finalement que Paris est la ville avec la meilleure évolution depuis 2019. Celle-ci est présente dans tous les classements et ne démérite pas au vu du budget investi dans la capitale.

Cliquez ici pour accéder à l’étude de Strava.

La démobilité, de nouveaux enjeux ?

La démobilité

Les nombreux déplacements liés aux trajets domicile/travail créent des embouteillages qui touchent aujourd’hui de nombreux endroits du pays, voir même toute la France. L’occasion d’adopter la démobilité ! En effet, avec l’évolution de la circulation et le froid qui débarque, la motivation des Français est en déclin.  Mais Bee.Cycle peut répondre à ces problématiques. Concernant le passage à l’hiver, retrouvez nos meilleurs conseils pour continuer à faire du vélo sans avoir froid en hiver, ou encore, pour savoir comment s’habiller et monter à vélo lorsqu’il fait froid. 

En quoi consiste la démobilité ?

Rarement utilisé, le terme de démobilité définit le fait d’optimiser ses trajets pour mieux rouler. En effet, avec le déséquilibre des routes vides lors du confinement en 2020 et la reprise active des déplacements, on se retrouve parfois à attendre 2h dans les bouchons pour parcourir 20km… Ou encore être bousculé dans le tram par d’autres personnes dans la même situation que nous…

Tout ça, car la mobilité est la même problématique chez tout le monde. Il existe plusieurs solutions aujourd’hui pour permettre à ses collaborateurs de se déplacer moins, mais mieux.

  • On peut parler de télétravail plusieurs jours dans la semaine, pour optimiser le temps de trajet du collaborateur et s’en servir pour mieux déjeuner, ou dormir plus, etc… Tout cela dans un seul objectif, un gain d’efficacité.
  • L’aménagement des horaires de travail permet également de répondre à cette problématique en entrainant la fluidité des circulations sur les routes.

L’article du magazine Le point défini également bien le terme de démobilité et son origine.

vélo électrique

La démobilité compatible avec la mobilité​

En effet, la mobilité peut être une solution pour la démobilité. Aujourd’hui, plus de 75 % des collaborateurs en France travaillent à moins de 15km de leur domicile. Il est pour certains plus long de prendre la voiture plutôt que se déplacer à pied. Des alternatives à la voiture ou aux transports en commun sont imaginables, notamment le vélo à assistance électrique qui permet de se déplacer partout, en toute fluidité et sans faire d’effort. On pense aussi à la trottinette électrique ou au scooter électrique, etc… L’objectif reste le même en réfléchissant à une solution de mobilité ou un confort de travail : Optimiser son temps, sa santé et sa productivité. Ainsi, en éliminant les possibilités les plus polluantes, qui demandent une certaine patience et qui ne répondent pas à vos attentes. La démobilité et la mobilité ont également un point fort en commun.

Ils sont tous deux nés pour répondre à une problématique collective. Lorsqu’on réalise le trajet domicile/travail ou autre, on pense généralement à son confort, ce qui humainement, est normal. En revanche, tourner la solution vers l’extérieur, penser aux autres permettrait :

  • De comprendre d’où les autres usagers viennent et donc, d’en déceler les routes les plus libres. Pour s’orienter vers une nouvelle mobilité plus douce, plus fluide et adapté à vos réels besoins.
  • D’un point de vue collectif, tourner la solution vers l’extérieur va rééquilibrer les circulations, sur les routes automobiles, cyclables, piétonnes ou même de transport en commun. Et ainsi, tous les usagers de la route seraient satisfaits.
Mobilité douce

Comment définir ses attentes ?

Pour définir vos attentes et trouver vos besoins, nous vous conseillons de sectoriser votre mode de vie. Êtes-vous plutôt du matin ? Habitez-vous à plus de 20 km de votre lieu de travail ? Avez-vous des arrêts obligatoires avant de venir travailler ? Cela peut être des enfants à déposer à l’école, chez la nounou ou tout autres besoins.

Lorsque vous aurez sectorisé vos besoins, offrez-vous toutes les possibilités  (télétravail, vélo, voiture, covoiturage, transports en commun, etc…).
Enfin, prenez en compte les contraintes de chacune des possibilités afin d’être en accord avec vos besoins. Par exemple, les contraintes liées à la voiture sont les embouteillages, la pollution et le prix du carburant. Ou encore, les contraintes des transports en commun sont le monde qui s’y trouve aux heures de pointe, le contrôle que vous n’avez pas sur le trajet, ce qui peut vous faire perdre du temps.

À ces contraintes, on y trouve des solutions qui seront votre solution.

  • La démobilité, en choisissant le télétravail et d’aménager des temps de trajets.
  • Ou bien la mobilité, en choisissant une alternative à votre moyen de transport actuel, mais en ne modifiant pas votre mode de travail.

Gardez à l’esprit que les deux sont possibles également !

Faites des économies en roulant à vélo

économies à vélo

Depuis la crise sanitaire, il a fallu trouver un moyen pour que les personnes se déplacent individuellement jusqu’à leur lieu de travail. Le vélo a répondu à l’ensemble des questionnements qui étaient pour la France, des contraintes telles que la propagation du virus, des économies fortement touchées et déstabilisées, les lieux fermés étaient également des lieux à éviter, etc… La mise en place de cette solution de mobilité a été complètement adoptée et adorée par les Français.

Des économies financières

Que ce soit professionnellement ou personnellement, l’utilisation du vélo permet une économie non-négligeable financièrement. D’un point de vue de l’employeur, il permet un gain de temps dans le sens où le vélo réduit l’improductivité lorsque le collaborateur est dans les embouteillages. Cette activité (qui n’est pas fatigante lorsqu’elle se réalise avec un vélo électrique) favorise le bien-être, la concentration et stimule les fonctions cognitives. De plus, pour l’entreprise, mettre à disposition des stationnements vélo coûte bien moins cher qu’une place pour automobile. Globalement, pour une entreprise, mettre en place une solution de mobilité telle que le vélo à assistance électrique permet un gain de temps, d’argent et de productivité.

Bien évidemment, pour le collaborateur, le vélo à assistance électrique permet aussi des coûts bien moins importants qu’un déplacement en voiture pour l’utilisateur. Entre le gazole, les embouteillages, l’entretien, etc…Le vélo électrique est un moyen de transport qu’on ne lâche plus une fois adopté.

Concernant l’économie française, le marché du vélo créé de l’emploi depuis que celui-ci s’est démocratisé et s’est ouvert à plusieurs secteurs, tels que la maintenance, la construction de pièces et d’équipements, la mise en place de flottes et de stationnements pour vélos, etc… En 2021, le marché du vélo avait créé plus de 80 000 emplois, celui-ci ne cesse d’augmenter, alors les emplois suivent.

économies humaine

La pratique du vélo sauve l'environnement

D’un point de vue écologique, l’utilisation du vélo et du vélo à assistance électrique est évidemment bien moins polluante que la voiture. Jusque-là, on ne vous apprend rien, mais on ne se rend pas compte du réel impact environnemental que peut provoquer la mise en place d’une solution de mobilité dans une entreprise. Parlons de l’impact sur la pollution, qu’elle soit sonore, de gaz à effet de serre, ou tout autre type de pollution.

Elle est provoquée principalement par les voitures de particuliers. La prise de conscience est alors possible en réalisant que nous sommes tous, utilisateurs de voiture, responsable en partie de l’évolution de la planète. En revanche, une solution existe : le vélo électrique. Celui-ci ne demande pas d’effort et réduit la pollution grandement, à plus de 90 % par rapport à une voiture.

Économies financières

Prendre soin de sa santé

D’un point de vue humain, la pratique d’une activité quotidienne telle que le vélo et le vélo électrique est connu pour le bien-être mental et physique de tous. Mais pas seulement, le vélo permet aussi d’augmenter notre espérance de vie. Oui, vous avez bien lu ! Ce propos se traduit à travers plusieurs facteurs :

  • Il réduit les dépenses de santé : pratiquer le vélo prévient certaines maladies et donc, peut sauver des vies.
  • Il participe à la réduction de la pollution sonore qui est à l’origine de plusieurs pathologies également.
  • Il baisse le taux d’absentéisme au travail du fait que tout le monde arrive à l’heure à vélo, et permet de confronter ses anticorps au monde extérieur.
  • Plus globalement, il favorise le bien-être, et par définition, la productivité.
Afin de permettre une place importante aux utilisateurs de vélos et VAE, certaines grandes villes ont revu leurs plans de déplacements et ont inclus les aménagements nécessaires pour les vélos.

Un deuxième plan vélo, et pourquoi pas ?

Plan Vélo

Un deuxième plan vélo a été mis en place par le gouvernement. En effet, Élisabeth Borne s’est exprimée à propos du premier plan de mobilité en 2018 et l’a défini comme « un succès ».

En quoi consiste ce plan vélo ?

Élisabeth Borne a annoncé ce mardi 20 septembre la mise en place d’un nouveau plan vélo. Pour celui-ci, elle à levée 250 millions d’euros de fond. Cela veut dire que de nombreuses actions seront mises en place afin d’améliorer la qualité des trajets à vélo. C’est peut-être l’occasion d’adopter un vélo de fonction ! Le second plan vélo consiste à maintenir les aides de l’état, pour l’acquisition d’un vélo, la formation des jeunes à cette activité et le développement de la filière du vélo.

Un deuxième plan de mobilité au bon moment

En 2018, un premier plan vélo a été mis en place et d’après Élisabeth Borne, il a été une réussite… Lors de son 4e anniversaire, elle en annonce un deuxième. Et à l’occasion de celui-ci, l’ancienne ministre de l’Écologie lève 250 millions d’euros de fonds, pour 2023.

En effet, les trajets à vélo en 2021 ont augmenté de 28 % par rapport à 2019 ! Et pour 2024, le vélo devra représenter 9 % des trajets des Français.

C’est en effet le bon moment. On arrive à un stade de la société où pour des raisons d’écologie, de gain de temps et d’argent, le vélo devient une question existentielle dans presque tous les foyers.

Les projets d'Élisabeth Borne pour le plan vélo

Et pour cela, un comité interministériel vélo va être mis en place en automne. Il intégrera tous les ministres concernés et se réunira tous les 6 mois pour faire avancer le plan vélo.

Pour accompagner ce discours, la première ministre annonce les actions qui seront mises en place :

  • La création d’emploi pour l’entretien des vélos, la réparation, la maintenance, etc.
  • Se servir de la visibilité des Jeux olympiques qui se dérouleront à Paris en 2024 comme « vitrine » pour le vélo.
  • Enfin, les bienfaits du vélo en termes de bien-être et de santé font partie des éléments qu’Élisabeth Borne souhaite mettre en avant.
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Le rôle de Bee.Cycle

Ce plan vélo permet d’améliorer les conditions de circulation et la qualité des pistes pour les vélos et les piétons. Bee.cycle contribue à votre bien-être en proposant des solutions alternatives de mobilité douce pour réaliser vos trajets domicile-travail en toute tranquillité. Aujourd’hui, ne plus prendre sa voiture pour aller au travail est un quotidien pour beaucoup. Certaines alternatives telles que le vélo offrent même de meilleures conditions pour bien commencer sa journée !

La semaine européenne de la mobilité

Semaine européenne de la mobilité

La 21e édition sur le thème de l'intermodalité

La semaine européenne de la mobilité se tiendra du vendredi 16 jusqu’au jeudi 22 septembre. Cette année, le gouvernement a choisi pour thème, l’intermodalité. Vous ne connaissez peut-être pas ce terme, mais vous l’avez sûrement déjà pratiqué, peut être même avec nos vélos de fonctions

Que signifie l'intermodalité?

Comme son nom l’indique, l’intermodalité est l’utilisation successive d’au moins deux modes de transports au cours d’un même déplacement. Elle permet de maintenir et de renforcer l’attractivité des villes.

Par exemple, vous vous garez dans un parc relais et vous finissez votre trajet en tram. Ou bien, pour ceux qui préfèrent respirer l’air frais, vous transportez dans votre coffre votre vélo électrique et vous le dépliez en deux temps trois mouvements pour terminer votre trajet à vélo.

Les enjeux de ce nouveau mode de mobilité

Professionnellement comme personnellement, l’intermodalité est seulement un terme qui définit comment la population se déplace depuis plusieurs années. Elle permet à l’économie de prolonger les services de transports en faisant perdurer les offres.

Socialement parlant, l’intermodalité correspond à la liberté et à l’accessibilité pour tous aux transports. C’est un enjeu énorme pour la société et c’est d’ailleurs pour ça qu’ils ont créé la loi d’orientation et de la mobilité que le gouvernement décrit comme « des transports du quotidien à la fois plus faciles, moins coûteux et plus propres ».

Enfin, les enjeux environnementaux, plus l’utilisation des transports en commun ou non motorisés se démocratise et se multiplie, plus la planète nous remerciera ! Suite à un constat de ces nombreux enjeux, on peut considérer que l’intermodalité joue un rôle important pour la santé physique et mentale de chacun d’entre nous.

Au programme pour la semaine européenne de la mobilité 2022

Pour la 21e édition, plusieurs villes ont mis en place des actions pour faire participer la population à la semaine de la mobilité. S’adapter au rythme de la mobilité douce et donner envie de s’y mettre aussi !

Programme de la semaine de la Mobilité

Des concours pour motiver les projets

La semaine européenne de la mobilité, c’est aussi des trophées annuels pour les villes européennes qui mettent en place des actions pour la mobilité durable. Au programme, on retrouve :

  • Le Prix de la Semaine européenne de la mobilité pour les petites et grandes municipalités.
  • Le Prix pour la Planification de la mobilité urbaine durable (Prix PMUD).
  • Le Prix européen de la sécurité routière urbaine.
Pour en savoir plus : https://www.service-public.fr/ 

Bordeaux métropole s'adapte à la semaine de la mobilité

Du 16 au 25 septembre, la ville de Bordeaux vous prépare quelques activités à l’occasion de la semaine de la mobilité. En partenariat avec plusieurs entités :

  • Le vendredi 23 septembre, Bordeaux métropole vous attends à l’amphithéâtre Deniges pour une conférence sur la mobilité des jeunes vers leur lieu d’étude ou de travail.
  • Le dimanche 25 septembre, se déroulera la 4e édition du Vélotour, le départ se fera au Quai des Caps.

Plus d’informations sur le site de Bordeaux Métropole.

 

Bee.Cycle et la mobilité douce

La mobilité douce, la solution de mobilité du futur. Économique, écologique et saine, c’est un enjeu primordial pour Bee.Cycle. Cette solution répond aux principaux problèmes sociétaux qui menacent les prochaines générations.

Les avantages d'un plan de mobilité

Tout d’abord, qu’est-ce qu’un plan de mobilité ? C’est la mise en place de plusieurs actions par les employeurs dans l’objectif d’optimiser les trajets domicile/travail pour les salariés. Le plan de mobilité vise à diminuer le trafic routier ainsi que la pollution.

Il peut être associé à l’intermodalité. Démarrer son trajet à vélo et le finir en tram par exemple est un circuit qui fonctionne, pour la rapidité et la fluidité du trafic, pour l’environnement et le bon fonctionnement de l’économie à travers les abonnements aux transports en commun, etc…

Le plan de mobilité Bee.Cycle

Chez Bee.Cycle, on accompagne les entreprises à créer des plans de mobilité en leur proposant des solutions adaptées à leurs besoins : des vélos de fonctions ou autre moyen de transport pour un plan de mobilité solide et cohérent. Bee.Cycle contribue au bon fonctionnement des entreprises à travers l’entente employeur/salarié.

  • Notamment en prenant en compte les envies d’évolutions des collaborateurs, leur santé mentale et physique, ou les contraintes de leur vie personnelle en proposant un vélo de fonction utilisable pour n’importe quelle raison. ( https://www.bee-cycle.fr/salarie/)
  • Bee.Cycle se met aussi du côté de l’employeur avec des solutions adaptées aux possibilités de l’entreprise et par procuration, à la bonne évolution de celle-ci. (https://www.bee-cycle.fr/entreprise/)

L’utilisation des vélos électriques pour la guerre en Ukraine

Les soldats ukrainiens utilisent de puissants vélos électriques pour neutraliser les chars russes. Depuis le début de l’invasion russe en Ukraine me 24 février, l’armée ukrainienne a stupéfait le monde par sa résistance et impressionné les experts militaires par sa capacité à innover. 

L’usage combiné de drones grand public, notamment ceux de la marque française Parrot, et militaires type Bayraktar TB2 et Switchblade, a permis d’infliger de lourdes pertes à l’armée russe très mal préparée face à cette agilité tactique.

Et voilà que l’on apprend que les vélos électriques font également partie de l’arsenal déployé par les forces ukrainiennes. Tour à tour, les fabricants Delfast et ELEEK, tous deux basés en Ukraine, ont confirmé que leurs VAE étaient utilisés sur le champ de bataille.

Le silence des vélos électriques pour faire face à l’envahisseur

Mais ces vélos électriques offrent aussi des avantages tactiques insoupçonnés. À commencer par le silence de fonctionnement, qui permet aux tireurs d’élite de changer de poste sans se faire remarquer.

De plus, avec une empreinte thermique bien plus faible que sur un modèle à essence, ils peuvent passer sous le radar des drones russes.

Avec 320 km d’autonomie, une vitesse de pointe de 80 km/h et une capacité à transporter de lourdes charges, il est utilisé par certaines unités légères qui s’attaquent aux chars russes.

Ce n’est pas la première fois que les vélos électriques séduisent les armées pour leur différent avantage. Rappelons que l’armée britannique s’est déjà intéressée de très près au Sur Ron Firefly pour sa légèreté et sa facilité à être parachuté.

Un missile antichar portable NLAW sur le porte-bagage

Comme on peut le voir sur la photo partagée par Danylo Tonkopi, le fondateur de Delfast, un système de missile antichar portable NLAW est monté à l’arrière du vélo électrique. 

Le silence, la capacité de franchissement et la puissance (moteur 3.000W, 182 Nm) du Delfast permettent une approche discrète et une fuite rapide.

Quant aux vélos électriques ELEEK, ils ont été adoptés par la Légion géorgienne, une unité de combattants géorgiens qui aide à défendre l’Ukraine. Baptisé Atom Military, le modèle utilisé atteint les 90 km/h en vitesse de pointe et peut parcourir jusqu’à 150 km. Il a été confié aux tireurs d’élite de l’unité.

Nouveaux vélos électriques connectés par Riese & Müller Urban Line

La marque allemande présente une nouvelle gamme de vélos électriques connectés, modernes et élégants : UBN 5 et UBN 7.

Fondée en 1993, Riese & Müller est une marque polyvalente passionnée qui a relevé le défi du vélo électrique en 2013. Ils sont disponibles dans une variété de styles, des vélos électriques compacts aux vélos cargo. Aujourd’hui, la collection Urban Line voit le jour avec deux modèles à la fois modernes et performants. Il se compose de deux modèles : UBN 5 avec cadre en diamant classique et UBN 7 avec tube supérieur abaissé.

« La mobilité urbaine évolue », déclare Markus Papke, responsable de la stratégie d’innovation chez Riese & Müller.  » Dans les villes, la mobilité doit être rapide et flexible, et la demande de vélos électriques connectés est croissante. Pour répondre à cette demande, nous avons entrepris de concevoir la nouvelle gamme de vélo électrique Urban Line : légers, flexibles et connectés. « 

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Un comportement naturel et le plus proche possible d’un vélo classique faisaient également partie des critères décisifs. 

Des VAE connectés

Riese & Müller ont installé le moteur et la batterie dans le cadre de deux de leurs nouveaux vélos électriques, réduisant visuellement le poids de l’ensemble du vélo électrique (beaucoup plus que le Delite Tour, par exemple). L’UBN 5 et l’UBN 7 pèsent 18 kg et sont équipés du nouveau système Ride 60 de Fazua. A ce titre, ils offrent 60 Nm de couple et embarquent des batteries d’une capacité de 430 Wh.

L’interface connectée permet de monter un smartphone sur la potence. Grâce à un partenariat avec la société estonienne Comodule, Riese & Müller propose une plateforme digitale pour accéder aux données de conduite et aux statistiques de ses vélos électriques. D’autres fonctionnalités telles que Smartlock ou System Lock seront bientôt intégrées.

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Les vélos électriques Urban Line sont disponibles en versions touring (Shimano Deore Shadow+, 11 vitesses), silencieux (Shimano Alfine, 8 vitesses) et monovitesse. La première série Urban Line est livrée en standard avec une fourche rigide, mais la suspension est optionnelle.
Les deux nouveaux vélos électriques de Riese & Muller sont présentés au même prix, au prix de 4 949 euros. Disponibles en quatre coloris (Selva/Black Matt/Pink/Pure White), ils seront livrés aux premiers clients à l’été 2022.

Le vélo : un accessoire de mode

Lorsque les barils de pétrole ont explosé et que Vélib’ est apparu dans la capitale, le vélo n’avait jamais été aussi populaire. Aujourd’hui, même les marques de mode s’en mêlent.

Pionnier, Chanel a sorti les modèles gainés de cuir de sa marque. Sacoche de selle, étui à pompe, protège-chaîne en cuir matelassé. Pour rouler avec style, il faut débourser… 8 900 euros ! Ne montez pas sur Chanel qui veut. Depuis, plusieurs marques ont rejoint la caravane, et l’été sonne comme un bon exemple de cette tendance.

Les marques de jeans et de prêt-à-porter s’emparent de la mode cycliste. C’est le cas de Closed, Kulte ou encore G-Star associés aux fabricants de vélos Cannondale, qui ont sorti Raw Cannondale. Ce vélo à la pointe de la technologie dépouille l’essentiel, alliant qualité, fonctionnalité et design. Un exercice de style, comme dans les collections de vêtements, demande savoir-faire et finitions soignées.

Plus sportif, Puma réaffirme pour la troisième fois le Puma GlowRider, son modèle de vélo alliant plaisir et fonctionnalité. La force de celui-ci, il se transforme en une monture phosphorescente du jour au lendemain. Ce vélo est entièrement intégré à la collection et fait partie de la collection Urban Mobility de Puma ; il se coordonne donc avec les vêtements, chaussures et autres accessoires. Ou quand le vélo devient un véritable accessoire de mode !

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Côté luxe, profitant de l’arrivée des Jeux Olympiques, Gucci vient de lancer la « 8-8-2008 Limited Edition ». Inspirée par les sports de compétition, la collection de la directrice créative Frida Giannini comprend huit accessoires qui incarnent le luxe sportif. Donc, dans l’émission, des chaussures, une montre, une valise et… un vélo. Ce dernier est toujours à vous pour seulement 2 200 €. Tout en rouge et rehaussé de cuir Guccissima, qui est poinçonné, poli et fini à la main.

vélo gucci

Bref, le vélo fait son effet, et l’arrivée du Vélib’ à Paris ne fera qu’amplifier le mouvement qui a propulsé la petite reine sur le devant de la scène. Le nouveau phénomène urbain, vélos et marketing est plus écologique et organique que jamais.

Aussi, à Paris – 17 boulevard du Temple dans le 3ème arrondissement – vient d’ouvrir un « bike shop » proposant des vélos de ville haut de gamme atypiques et stylés. « Je dédie cet espace à tous ceux qui aiment les deux-roues, ainsi qu’aux éco-citoyens qui recherchent un modèle hors norme de la grande distribution », explique le créateur de l’espace, Alexandre Billard.

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Le mouvement n’est pas seulement intergénérationnel, mais touche des personnes de tous âges, en particulier les citadins. Pour preuve, le Comptoir des Cotonniers vient de vendre un vélo (950 €) et un tandem (1 500 €), hommage au duo mère-fille. « Notre idée est de rester fidèle à notre univers réel et naturel », explique la marque. Habillées aux couleurs Comptoir, ces cartes rétro arborent des cadres en col de cygne et des courbes arrondies, des pneus anti-crevaison, des paniers en osier et des grelots !

Source : https://fr.fashionnetwork.com/news/Le-velo-nouvel-accessoire-de-mode,33929.html

Et pourquoi pas un Apple Bike ?

La machine médiatique ne s’arrête pas de courir à chaque fois que le projet Apple Car est évoqué. Depuis six ans, le fabricant d’iPhone est perçu comme cherchant à lancer une voiture électrique avec des fonctionnalités autonomes plus ou moins avancées. Plus récemment, la banque d’investissement Morgan Stanley a ravivé l’enthousiasme sur le marché en prédisant que la soi-disant Apple Car sera entièrement autonome d’ici 2025. Le véhicule n’aura ni pédales ni volant, et ne sera pas proposé en tant que voiture séparée, mais via un service de transport partagé. Si nous pouvons comprendre qu’Apple a la volonté de « révolutionner » les voitures comme il l’a fait avec les smartphones, alors une question va nous tarauder. Pourquoi le géant californien ne s’intéresse-t-il pas à la mobilité douce en général et aux vélos électriques en particulier ? Un marché mieux adapté aux messages d’éco-responsabilité, c’est-à-dire au discours santé/bien-être des entreprises. C’est l’un des leviers de croissance les plus prometteurs.

Marché du vélo électrique en plein essor

La combinaison de la pandémie et de la prise de conscience de l’urgence environnementale a entraîné une énorme augmentation des ventes de vélos électriques et de scooters. A tel point que la demande se fait rare, et que les fabricants ont du mal à suivre. Selon la NPD Corporation, entre juillet 2020 et juillet 2021, les ventes de vélos électriques ont en effet explosé (+240%). Le marché devrait passer de 47 milliards de dollars cette année à 79,7 milliards de dollars d’ici 2026, selon ResearchAndMarkets.com. Il est difficile d’imaginer qu’Apple n’ait pas vu une telle tendance. Si le géant américain pense pouvoir exceller sur un marché aussi complexe que celui de l’automobile, tout porte à croire qu’il peut faire de même dans la mobilité douce. D’autant que son positionnement haut de gamme trouvera de quoi s’épanouir sur le marché du vélo électrique. En effet, les modèles les plus luxueux peuvent rapidement atteindre plusieurs milliers d’euros. Nul doute que les fans de la marque à la pomme se mettront en quatre pour rouler sur le prototype iBike Apple e-bike.Comme à son habitude, Apple cherchera à « révolutionner » le marché du e-bike en fournissant des explications basées sur des designs uniques, une ou plusieurs clés les innovations technologiques et sa large intégration de l’écosystème. Imaginez un cadre aux lignes très épurées sur des matériaux haut de gamme comme le titane et la fibre de carbone, ou encore un nouvel alliage qu’Apple vanterait pour ses vertus. Les batteries sont susceptibles d’être intégrées ensemble de manière extrêmement discrète, ce qui est également une innovation potentiellement révolutionnaire. Peut-être en termes de chimies utilisées avec des électrolytes solides et/ou de capacité de charge ultra-rapide ? À cette fin, Apple pourrait acquérir une entreprise technologiquement prometteuse, comme elle l’a fait à plusieurs reprises auparavant. 

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On peut aussi imaginer un travail sur l’ergonomie du cockpit, l’accès à des canalisations complètement invisibles, et même une gamme d’accessoires utilisant un système de fixation rapide dérivé de la technologie MagSafe. Apple portera sans doute une attention particulière à son système d’affichage de vélo électrique, dont l’interface est fortement inspirée d’iOS. Quant à la technologie AirTag, elle trouverait logiquement sa place dans le cadre du vélo pour le localiser en cas de vol.

Un système de connexion rapide avec les terminaux Apple sera également de la partie. Par exemple, l’Apple Watch peut être couplée à un vélo pour la déverrouiller, puis collecter des données (distance, cadence de pédalage, calories brûlées, puissance consommée, etc.) et utiliser son GPS pour enregistrer itinéraire et altitude.

L’iPhone peut jouer le même rôle. La liste des ponts techniques et des synergies possibles entre l’écosystème Apple et les vélos électriques est interminable. Ils ouvrent de nombreuses possibilités pour créer le type d’expérience unique et fluide que revendique la marque Apple.

Obstacles qu'Apple peut facilement surmonter

Bien sûr, certains pourraient objecter qu’Apple n’a aucune expertise dans la conception de vélos. Mais recruter une équipe de conception et d’ingénierie pourrait ne pas être compliqué, étant donné les énormes ressources et l’attrait de la société californienne. Un tel projet ne manque pas de susciter un enthousiasme qui peut attirer les meilleurs talents.

Vous souhaitez en savoir plus sur les vélos de fonction ? Rendez-vous ici sur notre page d’accueil ! 

En revanche, la maîtrise industrielle de la production de vélos électriques est sans aucun doute l’un des plus grands défis auxquels Apple doit faire face. Mais, comme elle le fait déjà avec ses produits phares (iPhone, Mac, Apple Watch, AirPods, etc.), l’entreprise peut s’appuyer sur un ou plusieurs partenaires qui peuvent fournir des composants et assembler des vélos électriques. Par exemple, on pense à un fabricant comme Giant, qui est l’un des principaux producteurs de cadres de vélo et fabrique des vélos pour de nombreuses marques. 

Acheter ou prendre une participation dans un constructeur répondant aux standards d’Apple est une autre possibilité.
De notre point de vue, les arguments en faveur d’un vélo électrique sous contrat avec Apple ne manquent pas. Si l’Apple Car finit par atterrir sur nos routes, on se demande quel « iBike », « iCycle », « Apple Bike » ou tout autre nom possible viendrait gêner.

Source : https://www.futura-sciences.com/tech/actualites/velo-electrique-apple-car-pas-apple-bike-95173/

Le débat sur le port du masque obligatoire en vélo

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135 € d’amende pour ne pas porter de casque de vélo : c'est la proposition de loi défendue par un groupe de députés centristes. Selon l'Association des cyclistes, l'amende dissuadera les gens d'utiliser leur vélo.

135 € d’amende pour ne pas porter de casque de vélo : c’est la proposition de loi défendue par un groupe de députés centristes. Selon l’Association des cyclistes, l’amende dissuadera les gens d’utiliser leur vélo.

Va-t-on bientôt devoir s’équiper de casques de vélo et être verbalisé ? C’est le souhait d’un projet de loi que le Sénat examinera le 5 janvier. Lancée par un groupe de députés centristes, elle vise à « renforcer la sécurité des cyclistes modernes » en rendant obligatoire le port du casque par « les conducteurs de tout véhicule à une ou plusieurs roues » – vélos musculaires ou électriques, scooters ou autogires. Les contrevenants peuvent être condamnés à une amende de 135 euros.
« J’ai constaté une explosion de l’usage des deux-roues en ville, avec des usagers qui prennent souvent des risques et qui, pour la plupart, ne portent pas de casque », explique François Bono, sénateur de Charente et auteur du texte.

Les casques sauvent des vies et préviennent les accidents graves. Les groupes centristes s’appuient sur les données des accidents de la circulation : en 2019, la moitié des 187 cyclistes tués et 4 783 blessés ne portaient pas de casque. « Le site de la sécurité routière confirme que les cyclistes sont trois fois plus victimes d’accidents que les automobilistes, les blessures les plus graves touchant la tête. »

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« Si on suit la logique de ces sénateurs, il faut d’abord obliger les piétons à porter un casque »
Un argument qui agace Thibault Quéré de la Fédération des usagers du vélo (FUB) : « Les accidents mortels graves se produisent généralement sur les routes hors agglomération impliquant des voitures circulant à 70 voire 80 km/h », a-t-il expliqué. Selon une étude soulignée par la FUB, « 47,5 % des cyclistes blessés étaient principalement touchés par les bras, 32,6 % par les jambes, Le visage était de 23,3 % et la tête n’était que de 16,9 % ». 

Dans l’ensemble, seulement 1,09 % des blessés ont subi un traumatisme crânien grave, potentiellement mortel, au cours de l’étude de dix ans. À l’inverse, sur 4 000 blessés graves, 84 % des piétons en 2008 étaient frappé à la tête. « Donc si on suit la logique de ces sénateurs, il faut d’abord rendre le port du casque obligatoire pour les piétons », conclut malicieusement Thibault Quéré.

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Dès lors, l’Association cycliste s’oppose à toute imposition de casques, ce qui « pourrait être contre-productif », estime M. Quéré. « Dans les pays avec de telles réglementations, on a vu les cyclistes chuter d’un tiers, en Australie c’est d’un tiers », a-t-il expliqué. Mais la seule chose dont nous pouvons être sûrs, c’est la meilleure façon de sécuriser les vélos. Les pays les plus sûrs sont les Pays-Bas, l’Allemagne et le Danemark, où nous pédalons souvent. »

Évidemment, plus la pratique du vélo est répandue, plus le risque d’accident est faible. C’est ce que les experts appellent la « sécurité numérique ». « Plus il y aura de cyclistes dans les espaces publics, plus les autres usagers seront prévisibles, mieux ils seront vus et moins le risque d’accident sera important », indique la FUB sur son site internet.

La position du gouvernement partagée lors du débat à l’Assemblée nationale de 2019 sur le même sujet : Elizabeth Bohn, alors ministre de l’Ecologie, a rejeté l’idée d’une obligation d’éviter d' »éradiquer » les pratiques respectueuses du climat et de la santé publique. M. Bono s’est dit « sceptique sur l’argument »: « L’engouement pour l’utilisation des deux-roues est tellement grand que ce n’est pas une limitation du casque qui va ralentir les choses », a-t-il dit. Le casque a aussi beaucoup de matériau réfractaire. , cela peut donc parfois devenir une obligation.

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Le port du casque de protection est désormais obligatoire pour les enfants de moins de 12 ans.
Nicolas Le Moigne, l’amant de la petite reine et membre de l’association Vélocité à Montpellier, voit dans un tel projet de loi un « échec de la politique publique en faveur des cyclistes » : « Pour que les cyclistes soient en sécurité, les voies cyclables doivent être sécurisées. Sécurité dans la circulation, garder son calme dans la circulation en réduisant la vitesse de circulation à 30 km/h en centre-ville, mais aussi apprendre aux enfants à rouler car on leur apprend à nager, c’est plus compliqué que l’obligation de porter un casque, mais plus efficace ! »

Pour ces associations, la priorité est d' »encourager la pratique du vélo » plutôt que « d’effrayer les usagers en donnant au risque d’accident une importance qu’il n’a pas en réalité ». De ce fait, la FUB a rappelé que « les bienfaits du vélo sont plus de 20 fois les risques engendrés » dus aux bienfaits de l’activité physique. La bicyclette est également bien moins polluante et émettrice de gaz à effet de serre que les voitures. « Le vélo, c’est plus dangereux de ne pas en faire que d’en faire, avec ou sans casque », résume Nicolas Le Moigne. La proposition de loi sera débattue au Sénat le 13 janvier prochain.