Une demande croissante des vélos de fonction
Aujourd’hui, les sociétés françaises ont installé une flotte de vélos en libre-service afin que ses employés puissent se déplacer à volonté.
Pour les start-up ou les grands groupes du CAC 40, de plus en plus d’entreprises équipent leurs locaux de vélos de fonction destinés aux salariés pour leurs déplacements quotidiens. Un moyen de transport écologique que les employeurs adoptent progressivement.
Il existe des centaines de kilomètres de pistes cyclables dans les grandes villes françaises. La capitale dispose désormais d’un réseau de 371 kilomètres de pistes cyclables. La ville développe un espace dédié au cyclisme et prévoit d’augmenter l’espace cyclable dans les prochaines années. Dans le même temps, avec ou sans assistance électrique, certaines entreprises ont remplacé les voitures par des vélos d’entreprise.
Le transport durable émerge de plus en plus dans les discussions d’affaires. Il s’agit de faire sortir les employés des voitures privées. Arnaud Félix, directeur de pratique de Kisio, un centre d’expertise B-to-B qui se concentre sur les voyages, a déclaré que l’utilisation du vélo de fonction dans l’entreprise représente environ 2% à 3% des salariés français, mais que le potentiel pourrait encore être étendu à plus de 10%. Bien que les objectifs nationaux tendent à réduire la pollution atmosphérique, l’entreprise est très enthousiaste. En effet, ils en ont beaucoup profité. Le vélo d’entreprise est un moyen de transport pratique, écologique, sain et économique. Il est également plus rapide que les voitures en ville, avec une vitesse moyenne de 14 km / h pour les voitures et de 15 km / h pour les vélos de fonction.
Vous aussi vous souhaitez un vélo électrique ? Contactez-nous !
Incitations fiscales pour encourager les entreprises
Le gouvernement a mis en place des réductions d’impôts pour encourager les entreprises à fournir gratuitement des vélos de fonction aux salariés. Encouragez l’entreprise à développer un moyen pour les employés de se déplacer à vélo électrique. Il s’agit d’encourager l’utilisation de transports plus propres pour les trajets domicile-travail. Le but ? Réduire la pollution.
Ainsi, une entreprise peut réduire le coût d’investissement dans son parc de vélos électriques en réduisant son impôt sur les sociétés, y compris les véhicules électriques, ainsi que jusqu’à 25% des coûts de location et d’entretien. Cependant, il est à noter que cet avantage fiscal ne s’applique qu’aux entreprises soumises à l’IS (Impôts sur les sociétés).
Les entrepreneurs individuels assujettis à l’impôt sur le revenu ne peuvent pas bénéficier de cette aide. Pour les salariés, ils peuvent bénéficier d’une indemnité kilométrique de 0,25 euro par kilomètre. Pour les salariés qui se déplacent quotidiennement à 5 kilomètres de chez eux pour y travailler, cela équivaut à une augmentation salariale moyenne de 50 euros par mois.
Selon les recherches de Xerfi, la valeur du marché français du vélo électrique devrait croître à un rythme de 9% par an à 3,4 milliards d’euros d’ici 2023, et atteindre une croissance record (+ 15%) en 2020.
L’engouement pour ce mode de déplacement est évident : en plus de sa mobilité supérieure, il réduit également le risque de contamination des salariés par le virus (respect de la distance physique), tout en améliorant leur condition physique et en les aidant à réduire le stress. En outre, les vélos électriques peuvent également réduire l’impact environnemental associé aux déplacements professionnels quotidiens.
Par conséquent, de nombreux employeurs sont intéressés par cette solution de mobilité urbaine et espèrent la fournir à l’équipe pour remplacer les transports en commun et les voitures particulières. Pour les aider à franchir cette étape, Bee.Cycle continue de s’adapter et d’évoluer.
Faites de l’exercice avec Bee.Cycle, louez votre vélo électrique grâce à votre entreprise !
Bee.Cycle, location longue durée de vélo de fonction
Même si la transition est très lente, les entreprises prennent tout de même l’initiative en fournissant des flottes de vélos électriques. Les salariés peuvent alors bénéficier de la location de vélos avec options d’achat. Ils peuvent choisir des vélos classiques, électriques ou pliants. L’employeur paie 70% du loyer. La maintenance peut également être partagée entre l’entreprise et les employés. Il en va de même pour les assurances.
A Bordeaux, la startup Bee Cycle accompagne les entreprises qui souhaitent fournir des vélos de fonction à assistance électrique. Bien que l’achat d’un grand nombre de vélos électriques puisse être coûteux, Bee Cycle propose des locations à long terme. Les employés peuvent utiliser des vélos électriques haut de gamme pour voyager tous les jours, ou le week-end s’ils le souhaitent. Cela lui a permis d’éviter le stress des embouteillages, de promouvoir sa santé grâce à l’exercice et d’économiser de l’argent tout en protégeant l’environnement. Pour l’entreprise, elle renforce sa démarche de responsabilité sociale d’entreprise. S’il reste encore un long chemin à parcourir avant que le vélo de fonction ne devienne le principal moyen de transport des Français, ils se rendent peu à peu compte que pédaler peut leur simplifier la vie. De même, il n’est plus nécessaire de prouver les effets bénéfiques du vélo d’entreprise sur la santé.






Le vélo de fonction s’est imposé depuis quelques mois comme la solution de mobilité urbaine à destination des entreprises et de leurs collaborateurs. En effet, de la fin du premier confinement, les sociétés sollicitent de plus en plus des entreprises comme


Pas besoin d’investissement, pas besoin d’infrastructures spécifiques car Bee.Cycle s’appuie sur un contrat de location longue durée. L’entreprise choisit la vitesse de mise en place de la solution car celle-ci est basée sur la participation des salariés volontaires. Ils peuvent faire un contrat à partir d’un seul vélo électrique. Cette start-up bordelaise a beaucoup d’avantages que ce soit pour les 
Le transport durable émerge de plus en plus dans les discussions d’affaires. Il s’agit de faire sortir les employés des voitures privées. Arnaud Félix, directeur de pratique du centre d’expertise de Bis to B spécialisé dans la mobilité, a déclaré que l’utilisation du
Même si la transition est très lente, l’entreprise prendra tout de même l’initiative en mettant à disposition une flotte de vélos électriques. Les salariés peuvent alors bénéficier de la location de vélos avec options d’achat. Ils peuvent choisir des vélos classiques, électriques ou pliants. L’employeur paie 70% du loyer. La maintenance peut également être partagée entre l’entreprise et les employés. Il en va de même pour les assurances.
Le président Guy Zolger et la directrice de l’association Olivia Andriamasindray approuvent tous deux l’utilisation de cet outil qui valorise les services à domicile. Le président cite qu’il est difficile de recruter du personnel des soins et du domicile à cause de la dévalorisation du métier. Beaucoup de professionnels se dirigent vers le public car ils n’ont pas été inclus dans la revalorisation salariale.
Mais nous avons encore un long chemin à parcourir : les ventes de vélos électriques explosent (en 2019, une augmentation de 12% à 388.100), mais personne ne peut être considéré comme 100% français. Bien que des droits antidumping soient imposés sur les vélos de fabrication chinoise importées de pays asiatiques, la situation ci-dessus existe toujours. Les politiques protectionnistes commerciales n’ont guère permis à certains cyclistes européens de survivre, comme à l’origine de la marque Gitane en 1928, l’usine française de fabrication de vélos (MFC) de Machecoul (Loire-Atlantique), acquise par Intersport en 2013.
Guillaume Adriansen a déclaré : « Nous voulons un vélo électrique français, mais nous devons être pragmatiques, car en France, la plupart des échanges autour de la production de vélos électrique n’existent plus à un statut industriel. » « Fabriquer des vélos électriques français « Nous permet d’assembler nos vélos à assistance électrique en France, et cela n’a aucun sens de le faire au bout du monde. « Une campagne menée sur Ulule en 2018 a permis de vendre 500 vélos électriques sur Internet et de les livrer à votre porte au prix de 1 800 euros. Ces deux partenaires imaginatifs mettent en place un réseau d’ambassadeurs et viennent de Paris a ouvert un showroom dédié au test des vélos électriques.
Deux jeunes entrepreneurs de Tours Business School, Baptiste Fullen et Luca Chevalier, ont choisi un domaine très particulier en fondant Eovolt en 2018 : les vélos électriques pliants. Le vélo léger (14 kg) se plie et se déplie en dix secondes, du placard au métro, du coffre au voilier. Ses composants ne sont bien sûr pas français, mais face à la croissance explosive des commandes de confinement, Eovolt vient de quitter l’usine de Bourges et de se rendre à l’usine d’assemblage de Lyon, ce qui permettra d’assembler 25000 vélos par an, ce qui est l’original Cinq fois. Il y a 15 personnes de plus qu’avant. Compte tenu de son positionnement, Eovolt est engagé dans l’innovation pratique. Les cinq modèles actuels ont des batteries dans la tige de selle, des moteurs électriques dans les roues arrière et des ports USB sur le guidon.
La comparaison entre Marc Simoncini et Jules Trecco est rigide mais significative car elle met en évidence l’importance de l’électronique dans leurs projets. Les deux fondateurs sont toujours enthousiasmés par « c’est le vélo électrique intelligent le plus sûr au monde« . En fait, ce vélo à assistance électrique est équipé de capteurs et dispose d’une fonction hyperconnectée, qui peut être contrôlée et suivie via une application dédiée. Comme l’iPhone, il s’occupe également du design, avec la signature Ora Ito. Grâce au cadre en fibre de carbone et en aluminium, il ne pèse que 14 kg.
L’engouement pour le vélo se confirme, et le marché du vélo électrique continue de croître : les ventes en 2018 ont dépassé 2 milliards d’euros (+ 2,3%) et les ventes de vélos à assistance électrique ont dépassé 2,7 millions. Les vélos électriques (VAE) sont les moteurs de la croissance. Après un bond sans précédent en 2017, 2018 a prouvé que cette tendance n’est rien d’autre qu’une mode : le marché du vélo à assistance électrique (VAE) a progressé de 21%, avec des ventes atteignant 338000 unités, qui consolide sa croissance et atteint désormais le nombre total de vélos électrique. 40% du chiffre d’affaires.
Les vélos électriques pratiques et respectueux de l’environnement continuent d’attirer le plus de monde. Ainsi, 2018 a une nouvelle fois été témoin de la robustesse du marché français du vélo. Dans le contexte de la prise de conscience politique en France (programme national du vélo) et en Europe (politiques antidumping restreignant les importations chinoises), il est certain que l’industrie n’a pas encore achevé sa croissance. « Je suis convaincu que les vélos électriques vont changer notre mode de vie. Cela fait partie de l’avenir des vélos. Les vélos électriques seront modernisés ! »
Par conséquent, quels leviers doivent être activés ? Il est évident de construire un réseau cyclable et d’élaborer un plan cycliste ambitieux. Pour cette raison, il est nécessaire de consacrer des ressources aux politiques relatives au vélo. « Au cours des quinze dernières années, la communauté a fait de gros efforts pour développer et investir dans des politiques de vélo », mais cela ne se limite pas à cela. Pour cette raison, il est nécessaire de consacrer des ressources aux politiques relatives au vélo. « Au cours des quinze dernières années, la communauté a fait de gros efforts pour développer et investir dans des politiques de vélo », mais cela ne se limite pas à cela. « De manière générale, le budget d’investissement des collectivités territoriales dans la politique vélo a augmenté de 40% en dix ans, passant de 328 euros à 468 millions d’euros ». Pour aller plus loin, les investissements doivent être élargis à grande échelle. À partir du budget par habitant / annuel de 8,9 euros en 2019, la politique vélo de la France devrait atteindre 30 euros / personne / an pour produire des résultats significatifs, comme cela a été observé dans les pays nordiques. En plus des territoires, l’État et l’Europe peuvent financer conjointement des projets cyclables pour autant qu’ils en aient l’intention. La mise en place du système mondial de vélos doit également favoriser le transport multimodal : développer des parkings sécurisés (le taux d’occupation des parkings vélos est dix fois inférieur à celui des voitures !), faciliter l’embarquement des vélos dans les trains et autocars, et intégrer la taille des vélos. Le développement du moyeu de roue intermodal. Des places de stationnement pour vélos sûres dans les maisons et les entreprises sont également le principal moyen. Enfin, le développement du vélo doit vraiment influencer les choix de modèles en réduisant la vitesse, l’espace et l’investissement en voiture sur notre territoire.
La conclusion de l’étude est : « S’il n’y a pas de développement significatif des femmes, il n’y aura pas d’évolution majeure dans la pratique quotidienne. Enfin, les données de l’étude montrent que dans les années 90, lorsque les personnes de plus de 55 ans étaient régulièrement utilisées cependant l’impact du vélo sur la santé est très important. Il a des significations positives à tout âge. Il permet de maintenir l’équilibre et la fonction cognitive, l’attention ou l’efficacité au travail. Il est nécessaire de soutenir le développement du cyclisme pour tous afin qu’un exercice ponctuel passe à un exercice régulier, en particulier pour les enfants d’âge scolaire, les femmes et les personnes de plus de 55 ans. La consultation, le soutien et la sensibilisation sont essentiels pour changer les pratiques. Les incitations à acheter des vélos, des services ou des solutions de location à long terme peuvent également avoir un impact significatif.
En France, le cyclotourisme se développe, principalement en raison de la croissance de l’itinérance (malgré les minorités ethniques) et des vélos de sport. Au cours de leur séjour, près de 22 millions de Français roulaient à vélo, ces deux dernières années, 31% des Français de plus de 15 ans, soit 16,5 millions. Parmi ces derniers, 22% des personnes utilisent le vélo comme activité principale, soit 3,6 millions de personnes. Le cyclotourisme est une forme de tourisme aux retombées économiques fortes, qui peut générer 5,1 milliards d’euros de revenus chaque année, soit une augmentation de 46% en dix ans. Il s’agit d’une industrie touristique qui a moins d’impact sur l’environnement (la pratique du vélo a moins d’impact sur l’espace visité, et moins que d’autres pratiques) ; le tourisme voisin (seulement 5% des touristes atteignent le site d’enquête à plus de 1000 kilomètres) ; de nombreux cyclotouristes préfèrent prendre le train. Au cours des dix dernières années, le prix du cyclotourisme a également fortement augmenté. Entre 2015 et 2019, le nombre de prestataires labellisés Accueil Vélo® a doublé pour atteindre 4000, et le déploiement est très dynamique. Depuis sa création en 2012, l’offre du portail national du tourisme français VéloTourisme s’est élargie. En 2018, le site a recueilli près de 5 millions de vues et s’est développé à un rythme de 15% par an. « La France est toujours le pays avec le plus de projets d’agences de voyages internationales, avec des agences de voyages atteignant 250 TO en 2019, soit une augmentation de 15% par rapport à l’étude de 2008 ».
Comment réussir cet exploit en si peu de temps ? En mettant en œuvre une politique très agressive visant à créer un système vélo intégré. Cela comprend la construction de 100000 kilomètres d’installations cyclables pour un réseau cyclable maillé et continu, avec un investissement de 30 euros par habitant et par an (271 euros par véhicule et par an, 473 euros par personne et par an) / an / résidents des transports publics). Le potentiel économique est énorme. En France, l’impact économique direct du vélo est estimé à 8,2 milliards d’euros par an, et il fournit près de 80 000 emplois… seulement 3% de part modale *. L’étude nous dit que l’effet de levier de la circulation sur l’économie locale est particulièrement important et que la part du modèle de 9% doublera cet effet. Si l’ambitieuse part de 24% des déplacements à vélo est atteinte en 2030, les retombées socio-économiques de la France seront d’environ 130 milliards d’euros. Excellents ingrédients stimulants.